La tradition raconte qu’ici saint Martin, assailli par des muletiers païens, est protégé par un orage divin qu’il calme ensuite miraculeusement. Il fait jaillir une fontaine pour laver ses plaies (cette scène est représentée sur un vitrail de l’église de La Chapelle-Blanche-Saint-Martin. L’eau est évidemment considérée comme miraculeuse et la fontaine reste, jusqu’au années 1950, un lieu de pèlerinage très fréquenté.
Une croix surmonte aujourd’hui le site réaménagé par la commune. Ce puits est en pierre, il s’agit d’un simple trou d’eau, le long de la Ligoire, proche du lieu-dit de Monfouet. L’on trouve ce même type de légende à Esves-le-Moutier.
According to tradition, Saint Martin, who was attacked by pagan muleteers, was protected by a divine storm which he then miraculously calmed. He makes a fountain gush out to wash his wounds (this scene is represented on a stained glass window in the church of La Chapelle-Blanche-Saint-Martin. The water is obviously considered miraculous and the fountain remained a popular place of pilgrimage until the 1950s.
A cross now stands atop the site, which has been redeveloped by the commune. This well is made of stone, it is a simple water hole, along the Ligoire, near the place called Monfouet. The same type of legend can be found at Esves-le-Moutier.